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Des outils pour dépasser les limites

Améliorer le diagnostic en paléoparasitologie

L’utilisation de la microscopie optique dans les analyses paléoparasitologiques présente des limites essentiellement au niveau diagnostique. Le manque d’information sur la morphologie et la morphométrie d’un certain nombre d’œufs les moins courants, de même que les caractéristiques parfois très proches au sein d’un même genre, sont à l’origine de ces limites. Pour ces raisons, l’équipe de paléoparasitologie du laboratoire chrono-environnement cherche à améliorer le diagnostic des parasites anciens par divers moyens. Immunologie, biologie moléculaire, et approche micromorphométrique des œufs sont des outils actuellement développés à Besançon (Lire la suite…).

L’approche semi-quantitative

La quantification des résidus en paléoparasitologie est un problème a priori sans solution et seuls certains contextes archéologiques peuvent faire l’objet d’une telle approche, comparable à celles adoptées en coprologie actuelle. Le récent travail réalisé par Racz et al. en 2015, sur un squelette d’époque médiévale retrouvé à Nivelles en Belgique, est un des rares exemples d’application possible d’une approche quantitative. Nous nous sommes par conséquent tourné vers une approche semi-quantitative, permettant pour le moins la comparaison des données entre les échantillons et entre les sites sur lesquels nous travaillons (Lire la suite…).